PHOTOS AERIENNES DE AMDOUN N’SEDDOUK
Saïd Bellili filme cheikh Belhaddad
C’est ce pan de l’histoire que Saïd Bellili s’attelle à mettre en images pour les générations actuelles et futures. Nous avons croisé Saïd lors de la rencontre cinématographique d’Akbou où il a présenté son court métrage sur le sida la Rencontre mortelle, un film agrémenté d’un débat houleux suite aux tabous qui entourent le sujet. Pour ce jeune cinéaste né en 1966 à Seddouk (Béjaïa), le cinéma était au départ une simple passion. Mais, à force de persévérance, il est vite devenu sa raison d’être.
D’ailleurs, il ne cesse de donner des coups de manivelle pour des productions qui intéressent la société car ayant pour thématiques les drames sociaux, notamment ceux qui souffrent dans l’ombre loin du regard des autres. Il a débuté sa carrière dans le théâtre tout en aimant le cinéma, ce qui l’a incité à suivre une formation de réalisateur de six mois Alger. «J’ai commencé avec les moyens de bord. En 2000, j’ai réalisé mon premier documentaire, qui porte sur le séisme de Béni Maouche, à Béjaia. Intitulé les Sinistrés, je l’ai réalisé avec un support DV. Mon deuxième documentaire, sorti en 2002, traite des handicapés. Ce documentaire, que j’ai présenté au festival d’expression amazighe d’Annaba, m’a poussé à aller de l’avant en voyant des gens émus et en sanglots, sensibles aux souffrances qu’endure cette frange de la société. Mon premier court métrage, la Rencontre mortelle, je l’ai réalisé en 2005 et mon premier long métrag, d’une heure quarante-cinq minutes et intitulé la Malédiction, est sorti en 2008. J’ai participé avec ce long métrage au festival du film d’expression amazighe de Sidi Bel Abbès. Enfin, j’ai mis en veilleuse, en attendant des jours meilleurs, un feuilleton de quinze épisodes de cinquante-deux minutes chacun. J’en ai donné le coup de manivelle le 9 juillet 2009 au palais de la Culture. Comme il traite de la guerre d’Algérie, j’ai sollicité une aide au ministère des Moudjahidine et j’attends toujours une subvention pour pouvoir entamer le tournage», nous a déclaré ce cinéaste qui ne manque ni de volonté ni de talent.
De Béjaïa, Larbi Beddar
Université de Bejaia : la recherche à l’honneur

Un petit coucou de Billel et de sa bande à Tikjda
"Première randonnée du club amateur des sports aériens et de montagne Seddouk Oufella à Tikjda, malgré le manque de moyens.
Le début est toujours difficile, mais on a quand même passé de très bons moments".
Billel Lahneche
Allez les verts !!!
Pour marquer son soutien à notre équipe nationale de foot ball face à l’Egypte, Billel notre parapentiste parade dans le ciel au dessus d’Achtoug avec le drapeau algerien, quelle belle image !!
Allez les fennecs !!
L’Ouziaa à l’Aid Ameziane
Le village Seddouk Ouffella à l’instar de nombreux villages de Kabylie a célébré l’Aid Ameziane , en organisant une Ouziaa, histoire de perpétuer une tradition , mais pas seulement , car quoi de mieux qu’une telle opération collective de solidarité , de partage et de générosité peut redonner du baume au coeur à ceux pour qui le quotidien est un combat sans répit, redonner le sourire aux enfants en l’espace de cette journée de pardon et de communion.
Pour vous plonger dans cette ambiance, je vous laisse découvrir ci -dessous les photos prises par Omar que je remercie par ailleurs.
Pour information, l’Ouziaa s’est déroulée dans la Maison du cimetière qui a été intégrée à "L’ensemble cultuel Cheikh Ahadad " et à ce titre elle a été entièrement aménagée en salle de prière avec un espace sanitaire composée de toilettes, douches et espace pour ablutions aux sous sol.
EL MOKRANI sur Facebook
Bonjour,
Merci de diffuser cette info dans votre réseau pour informer les algériens intéressés par l’histoire de l’homme des Bibans Mohamed El Mokrani. Le but c’est que les gens nous rejoignent afin de promouvoir nos ancêtres qu’on a oublié.
Merci beaucoup pour votre collaboration.
Votre site est super
Cordialement
http://www.facebook.com/home.php?#/profile.php?id=100000190463998&ref=profile